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Pays traversés par l'équateur : liste exhaustive et explications

La ligne de l’équateur traverse 13 pays. Mais les connaîtras-tu encore après avoir lu cet article ?

17 min
Voyages et destinations
8 May 2025 à 20h17

La ligne de l’équateur traverse 13 pays. Mais les connaîtras-tu encore après avoir lu cet article ? On t’y explique tout ce qu’il faut savoir sur ces pays, leur climat, leurs paysages, leur biodiversité, et bien plus. Bonus : une carte interactive et un quiz pour tester tes connaissances.

Les 13 pays traversés par la ligne de l’équateur

Seuls 13 pays ont le privilège d’être traversés par la ligne de l’équateur, une distinction géographique unique. J’ai exploré certains de ces territoires pour mieux comprendre leur singularité.

Liste exhaustive par ordre géographique

Pays Continent Océan bordé
Équateur Amérique du Sud Pacifique
Colombie Amérique du Sud Pacifique/Atlantique
Brésil Amérique du Sud Atlantique
Sao Tomé-et-Principe Afrique Atlantique
Gabon Afrique Atlantique
République du Congo Afrique Atlantique
République Démocratique du Congo Afrique Atlantique
Ouganda Afrique Aucun
Kenya Afrique Indien
Somalie Afrique Indien
Maldives Asie-Océanie Indien
Indonésie Asie-Océanie Indien/Pacifique
Kiribati Océanie Pacifique

À noter : L’équateur traverse principalement des régions humides, hostiles et peu explorées par les foules. Certains pays (Équateur, Brésil, Indonésie) en tirent même leur nom ou une part non négligeable d'identité.

Carte rapide pour visualiser la trajectoire

Carte mondiale montrant la trajectoire de l’équateur sur les continents et océans.

Légende : Cette carte professionnelle montre le tracé équatorial sur un globe WGS84. Observe bien – entre le Pacifique et l’Indien s’étend une bande où l’homme n’est qu’un invité toléré. Il est vrai que beaucoup sous-estiment encore les distances colossales entre deux passages terrestres. Polux, mon chat Bengal – qui valide toujours mes parcours – trouve que la portion indonésienne mérite une double ration de croquettes tant elle zigzague entre mer et île.

Pays traversés en Amérique du Sud : caractéristiques et curiosités

Équateur (pays) : entre Andes et Pacifique

Si tu penses que l’Équateur, c’est juste une ligne sur Google Earth, tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Ici, la géographie cogne fort : l’axe andin fend le pays de part en part, avec des pics qui dépassent les 6 000 mètres (le Chimborazo t’envoie direct sur l’apogée du méridien). La côte pacifique n’a rien d’un cliché touristique : humidité écrasante, mangroves infestées de crabes bleus, puis les îles Galápagos, à plus de 1 000 km au large, qui défient toute logique biologique – c’est là-bas que Darwin s’est fait bousculer les idées fixes.

  • Altitude : De zéro à plus de 6 200 m (Chimborazo)
  • Climats : tropical humide sur la côte, alpin glacial dans la Sierra, équatorial en Amazonie
  • Biodiversité : unique au monde, endémisme extrême aux Galápagos et dans l’Oriente

On ne ressent jamais autant la force du zénith solaire qu’ici. Une nuit équinoxiale sous ce ciel dense est une expérience inoubliable. L’humidité colle à la peau, mais chaque respiration sent la vie brute.

Colombie : forêts amazoniennes et biodiversité

Détrompe-toi si tu réduis la Colombie à ses clichés urbains ou ses feuilletons télé. Le sud du pays explose littéralement de vie sauvage : l’Amazonie colombienne couvre près de 42% du territoire national mais reste pratiquement impénétrable – il est vrai que même Polux s’y perdrait sans son collier GPS. La faune y est affolante : jaguars évaporés, grenouilles fluorescentes, arbres géants où nichent toucans et harpies féroces.

La Force de Coriolis? Elle tord carrément la trajectoire des eaux sur le fleuve Amazone ici; c’est pas juste un truc pour épater au bistrot.

Vue aérienne de la forêt amazonienne en Colombie avec une rivière sinueuse.

Brésil : forêt amazonienne et îles équatoriales

Alors là on parle d’un mastodonte. Près de 60% de l’Amazonie mondiale se trouve au Brésil — c’est dire si la densité végétale explose tous les compteurs ! Les îles fluviales pullulent (Anavilhanas regroupe plus de 400 îlots vierges), des zones où même les satellites hésitent avant d’envoyer une image nette. Cette jungle primaire n’a strictement rien à voir avec les savanes brûlées par le Tropique du Cancer – ce contraste météo met tout le monde d’accord.

  • 🌳🌳🌳🌳 pour la densité forestière : tu ne verras jamais autant de chlorophylle au kilomètre carré ailleurs.

Seuls les plus téméraires peuvent supporter les conditions extrêmes de cette jungle. Mais il est vrai que ça forge un caractère… ou ça pousse à rentrer chez soi dare-dare.

Pays africains à cheval sur l’équateur : paysages et culture

Sao Tomé-et-Principe : archipel équatorial sous climat extrême

Si tu veux du vrai climat équatorial, viens poser tes bottes à Sao Tomé-et-Principe. Cet archipel d’origine volcanique, planté pile à la croisée de l’équateur et du méridien de Greenwich, est tout sauf banal. L’Union astronomique internationale valide chaque année le passage exact de l’équateur ici – question de rigueur scientifique, franchement peu discutée dans le coin sauf par deux géomètres portugais grincheux.

Sur place ? Cacao ultrafine, mangroves enchevêtrées et forêts humides qui t’avalent en trente secondes. Surnommées « îles chocolat », ces terres offrent des fèves réputées parmi les meilleures au monde – le cacao local fait saliver même Polux (et il est difficile). Le climat peut vite virer au délire tropical : chaleur constante, pluies brutales, brumes épaisses au sommet du Pico (2 024 m !). La mangrove, elle, déborde de crabes multicolores et sert d’abri à des oiseaux quasi-inconnus ailleurs.

Vue aérienne de Sao Tomé-et-Principe avec végétation luxuriante et mangroves.

Gabon & République du Congo : royaume des forêts denses

La bande équatoriale du Gabon et du Congo offre un spectacle rare : des forêts primaires aussi épaisses que mystérieuses. Ici, on compte les arbres centenaires par centaines de milliers ! Les ethnies comme les Pygmées vivent encore selon des traditions millénaires, chassant sans détruire l’écosystème (prends-en de la graine !). Le fleuve Congo serpente vers l’ouest – c’est une veine vitale pour toute la région.

  • Flore : acajous géants, orchidées sauvages, fougères arborescentes.
  • Faune : gorilles des plaines, éléphants forestiers (pas si dociles), panthères furtives.
  • Populations autochtones : peuples Batéké, Babongo et Pygmées ; rapport à la forêt unique.

Retenu par la canopée équatoriale gabonaise sous un orage sec… J’ai compris que l’humilité était le seul chemin pour ne pas finir englouti dans cette jungle sans concessions.

République démocratique du Congo : entre fleuve et poumon vert

Impossible d’évoquer l’équateur africain sans parler du bassin colossal du fleuve Congo. Ce monstre liquide irrigue une forêt dense couvrant plus d’un million de kilomètres carrés – second massif tropical mondial après l’Amazonie. La météo ici est imprévisible : saison humide interminable, crues soudaines qui bloquent tout déplacement terrestre pendant des semaines !!

Les affluents comme la Lulonga ou la Maringa s’entrecroisent façon labyrinthe organique – il est vrai que rares sont ceux à s’y risquer sans guide chevronné ni barque solide…

Ouganda, Kenya & Somalie : entre savane fertile et désert côtier rugueux

Certes, tous ces pays partagent leur passage sur l’équateur mais ils ne se ressemblent guère !
L’Ouganda c’est le royaume des savanes grasses et marécages impénétrables autour du lac Victoria — un plan d’eau si vaste qu’il redéfinit les points cardinaux pour qui ose le traverser. Le Kenya alterne hautes plaines à girafes (le vrai safari n’est pas une carte postale) et zones semi-arides dès qu’on file vers Garissa ou Mandera.
Quant à la Somalie… attention zone sèche ! Son désert côtier donne un aperçu cru de ce que serait un croisement improbable entre Sahara et mer d’Oman. Il est vrai que le contraste avec le Tropique du Capricorne saute aux yeux — là-bas on bronze sec alors qu’ici on sue râleusement sous un soleil vertical. Pour moi ? Seuls les voyageurs allergiques à la tiédeur climatique y trouveront leur compte.

Pays asiatiques et océaniens sur l’équateur : îles et atolls

Maldives : atolls coralliens et zénith solaire

Oublie les clichés de cartes postales. Aux Maldives, l’équateur n’est pas juste une latitude : il cogne sec, pile sur le front. Les 26 atolls du pays s’égrainent comme un collier éclaté, recouvrant plus de 90 000 km² d’océan. Au sud, Fuvahmulah et Addu Atoll voient le soleil monter à la verticale lors des équinoxes — précisément autour du 20 mars et du 23 septembre. À midi, il ne projette aucune ombre. Cet angle brutal donne une intensité lumineuse qui brûle la rétine si tu t’avises de lever les yeux nu-pieds dans le sable chaud.

« Il est vrai que ce zénith est d’une pureté absolue… Ma nuit équinoxiale sans chaussures sur l’île, tu la ressens dans chaque cellule: le ciel, lavé de tout artifice, n’est qu’un disque incandescent. Pas la moindre brise, pas d’ombre pour se planquer — juste la pulsation sourde d’une nature en surchauffe. »

Indonésie : Sumatra, Bornéo, Sulawesi et archipels

Ici, oublie tout repère : c’est un labyrinthe géographique. L’équateur traverse Sumatra, à l’ouest – sixième plus grande île du monde et mosaïque de volcans et jungles impénétrables. Puis c’est Bornéo (Kalimantan côté indonésien), troisième plus grande île mondiale : on y trouve quelques-unes des dernières forêts primaires intactes de toute l’Asie du Sud-Est.

Sulawesi ? Un puzzle volcanique ciselé par le détroit de Macassar à l’ouest et la Mer des Moluques au nord-est — biodiversité unique au monde, bestioles endémiques dont même Polux n’ose pas rêver (célèbres céphalopodes mimétiques ou macaques à crête).

Les archipels environnants forment un millefeuille maritime où chaque îlot réinvente la notion d’humidité extrême.

Carte illustrée des îles équatoriales d'Indonésie : Sumatra, Bornéo, Sulawesi et archipels voisins.

Kiribati : défis climatiques et montée des eaux

Kiribati ? C’est probablement le pays le plus exposé au monde face aux océans déchaînés. Ici, l’altitude moyenne dépasse rarement 2 mètres, autant dire que la montée des eaux frappe sans pitié : déjà 81% des familles constatent l’inondation progressive de leur habitat. L’Union géodésique et géophysique internationale classe Kiribati en « zone critique d’immersion ».

Attention : l’érosion côtière et la montée des océans menacent ce territoire, qui pourrait être submergé avant 2100.

Quant aux migrations forcées ? Elles sont déjà réalité pour plusieurs villages insulaires – il est vrai que rares sont les gouvernements à s’en soucier franchement.

Comprendre l’équateur terrestre : notions physiques essentielles

Définition géodésique : grand cercle et plan équatorial

L’équateur n’est pas un banal trait sur une mappemonde, non. C’est un grand cercle, le seul vrai parallèlle de la planète qui soit aussi « grand » que n’importe quel méridien. Il coupe la Terre en deux hémisphères parfaitement symétriques (du moins sur le papier), à 0° de latitude — valeur entérinée par l’Union astronomique internationale et régulièrement contestée par les adeptes du modèle plat (qu’ils rangent leur boussole !). Le rayon officiel, normalisé à 6 378 137 mètres selon le système WGS 84 – c’est précis au mètre près –, fait de cette ceinture imaginaire une frontière bien réelle pour qui s’aventure à la mesurer… à la rame, il est vrai que ça use les épaules.

  • Grand cercle : intersection du plan passant par le centre avec la sphère terrestre
  • Rayon : 6 378 137 m (norme WGS 84)
  • Plan équatorial : perpendiculaire à l’axe de rotation terrestre
  • Position : latitude 0°

Phénomènes astronomiques : équinoxes, zénith et force de Coriolis

Schéma expliquant l’équinoxe, le zénith solaire et la force de Coriolis.

Aux deux équinoxes annuels (environ 20 mars et 23 septembre), le Soleil est au zénith pile sur l’équateur : à midi local, aucune ombre au sol… c’est radical. Les journées sont alors d’une égalité déroutante : douze heures pile entre lever et coucher du soleil partout sur le globe. La fameuse force de Coriolis, quant à elle — validée par tous les manuels sérieux ainsi que par Polux —, est nulle précisément à l’équateur. Elle prend sa puissance en montant vers les pôles et tord vents & courants marins. L’Union astronomique internationale s’échine chaque décennie à rappeler cette mécanique céleste aux récalcitrants – certes, tout le monde s’en fout sauf ceux qui naviguent ou font tourner leur lavabo.

Climat équatorial : températures, pluies et saisons

Checklist climatique entre Tropique du Cancer et Tropique du Capricorne :
- Température moyenne : 26-28°C constante toute l’année (aucun hiver ni été net)
- Humidité : toujours forte (>80%), sensation permanente de moiteur collante
- Pluies : fréquentes, parfois torrentielles ; rares sont les journées totalement sèches
- Saisons : alternance légère entre saison humide et saison un peu moins humide (!!)
- Vents : faibles ou absents hors tempêtes côtières exceptionnelles

On ne trouve ce cycle implacable que dans une bande étroite autour de l’équateur. N’espère pas y bronzer sec comme sous les tropiques : ici tu sues ta race matin et soir, sans trève — Polux déteste franchement ce climat pour ses moustaches frisent instantanément.

Climat, biodiversité et enjeux environnementaux équatoriaux

Forêts pluviales et espèces endémiques : le coffre-fort vivant

Les forêts équatoriales sont de véritables matrices de la vie. Si tu t’imagines une simple canopée verte, passe ton chemin : on parle ici de plus de 1 600 espèces d'oiseaux (dont les harpies féroces ou le coq-de-roche), 2 725 orchidées identifiées rien qu’en Équateur, grenouilles à flèches du bassin amazonien, caméléons pygmées en Afrique centrale, dragons de Komodo indonésiens et tortues géantes des Galápagos. Cette liste n’est pas exhaustive — il est vrai que chaque mètre carré cache un organisme non décrit.

Principales espèces endémiques par région :
- Amérique du Sud (Amazonie/Équateur/Galápagos) : paresseux à trois doigts, condor des Andes, iguane marin.
- Afrique centrale : gorille des plaines, okapi, céphalopode mimétique endémique du Congo.
- Asie/Indonésie/Malaisie : orang-outan de Bornéo, rafflésie (fleur géante), calaos à casque rond.

Leur rôle crucial dans le cycle du carbone ? Elles captent plus de CO2 que n'importe quel autre biome terrestre ; la "Biodiversité équatoriale" est notre assurance-vie contre l'emballement climatique. Certes, ce trésor ne tiendra pas face aux tronçonneuses si personne ne réagit…

Rôle de l’équateur dans la circulation atmosphérique

Schéma explicatif circulation atmosphérique équatoriale – cellule de Hadley, alizés, climat global.

Là où tu croises l’équateur, la chaleur frappe sec mais surtout… elle fait bouger toute l’atmosphère ! Sous l’effet du soleil vertical, l’air chaud monte en flèche créant la fameuse cellule de Hadley. Résultat : formation des nuages massifs (d’où les pluies diluviennes), puis retour vers les tropiques où cet air redescend. Les alizés, ces vents réguliers qui filent d’est en ouest entre tropiques et équateur, naissent précisément de ce mécanisme. Bilan : sans cette pompe thermique équatoriale, les climats mondiaux seraient d’une monotonie mortelle ; c’est aussi ce qui redistribue chaleur et humidité sur toute la planète — Polux adore observer ça depuis la fenêtre.

Menaces : déforestation et changement climatique en embuscade

Il est vrai que le tableau serait idyllique si les forêts équatoriales n’étaient pas massacrées à coups d’exploitation pétrolière et agricole. Les chiffres sont délirants : plus de deux millions d’hectares disparus rien qu’en Équateur ces dernières décennies ! Pollution des zones humides d’Amazonie, feux illégaux en Indonésie — même les ONG mondiales comme le WWF ou Survival International tirent la sonnette d’alarme jour après jour. Le changement climatique accélère le tout : inondations inédites à Kiribati ou disparition progressive des amphibiens endémiques partout sous cette ceinture verte.

La déforestation massive menace gravement l’équilibre écologique de la planète.

Polux a déjà pris position : sans forêts ni espèces rares à admirer par la fenêtre… ce monde perdrait définitivement son goût.

Conseils de voyage pour seniors le long de l’équateur

Voyager le long de l’équateur à un âge avancé nécessite une préparation minutieuse pour éviter les imprévus. Mon expérience — et l’avis sans faille de Polux, garant félin de chaque parcours — te donne ici des vraies clés, pas du blabla d’agence !

Préparatifs géographiques et sanitaires

  • Passeport valable +6 mois après retour, photocopies rangées ailleurs que dans ton sac principal.
  • Vaccins à jour : hépatite A obligatoire, fièvre jaune recommandée selon zone (10 jours avant départ minimum), rappels DTP/Coqueluche, typhoïde si séjour prolongé en zone rurale.
  • Traitements antipaludiques : INDISPENSABLES pour Amazonie, Afrique centrale et Bornéo. Prends le temps de consulter ton toubib, certains traitements ne conviennent pas à tous les profils seniors.
  • Médicaments personnels + double prescription ; pharmacie de base (pansements, désinfectant, solution anti-diarrhéique).
  • Adaptateurs électriques universels, vérifie la tension selon pays traversés (110V ou 220V).
  • Horaires du soleil : se caler sur les prévisions officielles de l’Union astronomique internationale pour éviter le coup de chaleur au zénith — radical sur l’équateur !

Checklist essentielle

  • Passeport + copies
  • Vaccins et traitements antipaludiques faits
  • Médicaments usuels + ordonnances en double
  • Adaptateur universel et chargeurs solaires si besoin

Meilleures périodes pour chaque région équatoriale

Amérique du Sud (Équateur, Colombie, Brésil) : juin-juillet, saison sèche idéale pour éviter la poisse tropicale et profiter des Andes sans glisser tous les trois mètres. En Afrique centrale (Gabon, Congo, Ouganda) : privilégie aussi juillet-septembre ; la chaleur reste mais la pluie tape moins fort.
Pour Asie/océanie (Indonésie/Maldives/Kiribati), vise décembre à janvier — climat plus stable malgré l’humidité persistante. Polux approuve fermement ces fenêtres météo : ses moustaches supportent mieux la saison sèche !

Évaluation rapide par saison

Destination Saison optimale Note confort 🌞
Amérique du Sud équatoriale Juin-juillet 5/5
Afrique centrale Juillet-septembre 4/5
Asie/Océanie Décembre-Janvier 4/5

Astuces pour voyager confortablement (Polux approuve !)

  • Marche à ton rythme – oublie le sprint touristique ! Il est vrai que certains spots sont inaccessibles sans crapahuter dans la boue ou gravir deux collines… choisis tes ambitions et respecte tes limites.
  • Hydrate-toi TOUT LE TEMPS : ici on ne plaisante pas avec le thermomètre ni la moiteur. Privilégie eau filtrée/rebouillie, évite les boissons glacées douteuses.
  • Prévois pauses longues aux heures chaudes (zénith = danger réel). Lis bien ta carte horaire solaire fournie par l’Union astronomique internationale…
  • Chaussures solides mais aérées : oublie sandalettes molles ou baskets vieillissantes. Chaussettes anti-transpiration obligatoires.

Ce n’est pas un secret : lors d’une randonnée au Kenya j’ai vu Polux refuser net une piste pleine de tiques (il a planté ses griffes dans mon sac jusqu’à ce qu’on change d’itinéraire…). Prends exemple : écoute tes signaux faibles — certes c’est capital pour revenir entier ET heureux !

Conclusion : l’équateur, une ligne qui unit les continents

Tu cherches la vraie frontière du globe ? C’est l’équateur, et rien d’autre. Bien qu’imaginaire, l’équateur relie les hémisphères nord et sud, formant une ceinture où la nature et les cultures vibrent différemment. Traverser ces treize pays, c’est goûter la diversité sans filtre : forêts démentielles, îles fragiles, savanes rugueuses. Il est vrai que chaque zone réinvente la notion de voyage.

Polux donne son sceau de qualité avant chaque départ.

Laisse tomber les chemins tout tracés — va voir cette ligne par toi-même, si tu oses. Tu reviendras changé (et Polux miaulera son approbation).

Pays traversés par l'équateur : liste exhaustive et explications

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